- Auteur
- Solène BAKOWKI
- Titre
- UNE BONNE INTENTION
- Maison d'édition
- Bragelonne
- Relecture
- Oui
- Service de presse
- Non
4ème de couverture :
------------------------------
"Tous passeront à côté du sacrifice de l'un, de la confiance aveugle de l'autre, tourneront le dos à cet amour dingue, car c'est de ça qu'il s'agit, cet amour inconditionnel d'un jeune homme pour une fillette qui écrivait des lettres, cet amour d'une petite fille por le jeune homme qui savait lui inventer des histoires."
Mati a neuf ans. Elle a perdu sa mamn. Son père s'enlise dans le deuil et sa grand-mère s'efforce, à sa manière, de recoller les morceaux. Un soir, la petite ne rentre pas de l'école. On imagine le pire évidemment. Comment croire que tout, pourtant, partait d'une bonne intention ?
--------------------------------
Je trouve que ce résumé n'est vraiment pas à la hauteur du livre, une fois la lecture terminée il fait pâle figure comparé au bouleversement des écrits de Solène Bakowski. Un histoire qui monte dans l'amplitude émotionnelle au fil des pages.
J'ai été prise en otage par cette histoire, ces deux êtres, ces deux "enfants" innocents pris dans la tourmente de ce monde qu'ils ne comprennent pas, m'ont touchés. À ce stade c'est plus fort que de l'empathie, cela va bien au-delà de la compassion. Comme une envie de les protéger, de les mettre dans une bulle d'amour, de douceur et de bonheur.
Un récit mélancolique qui oscille entre deux mondes, l'un est douceur, tristesse, incompréhension, l'autre est méchanceté, bassesse, cachotterie.
Amour, douleur, mensonge, trahison, différence, rancœur, vengeance, pardon, paix ...
Une bonne intention de l'un par pure bonté, don de soi et innocence.
Une bonne intention de l'autre par amour mais par manigance et manipulation.
Tout et son contraire, les mots s'envolent subtilement avec le style si particulier de Solène Bakowski. Toujours dans la justesse de langage, dévoiler les vies cabossées, les secrets de familles.
La narration nous permet d'entrer dans ce cataclysme familiale, elle nous amène à détester Eliane, à nous mettre en colère face à l'inertie de Claude, à la tristesse pour Rémi, à la tendresse devant Magalie et surtout à aimer Mati.
Mati, Mati est un prénom que je vais rajouter à ma liste des prénoms coup de cœur qui ne me quittent pas.
Un prénom qui restera dans un petit tiroir bien au chaud dans un coin de ma tête et elle va se faire des petits copains et copines qui tout comme elle sont meurtris par la vie, par les adultes.
Un roman coup de coeur.
------------------------------
"Tous passeront à côté du sacrifice de l'un, de la confiance aveugle de l'autre, tourneront le dos à cet amour dingue, car c'est de ça qu'il s'agit, cet amour inconditionnel d'un jeune homme pour une fillette qui écrivait des lettres, cet amour d'une petite fille por le jeune homme qui savait lui inventer des histoires."
Mati a neuf ans. Elle a perdu sa mamn. Son père s'enlise dans le deuil et sa grand-mère s'efforce, à sa manière, de recoller les morceaux. Un soir, la petite ne rentre pas de l'école. On imagine le pire évidemment. Comment croire que tout, pourtant, partait d'une bonne intention ?
--------------------------------
Je trouve que ce résumé n'est vraiment pas à la hauteur du livre, une fois la lecture terminée il fait pâle figure comparé au bouleversement des écrits de Solène Bakowski. Un histoire qui monte dans l'amplitude émotionnelle au fil des pages.
J'ai été prise en otage par cette histoire, ces deux êtres, ces deux "enfants" innocents pris dans la tourmente de ce monde qu'ils ne comprennent pas, m'ont touchés. À ce stade c'est plus fort que de l'empathie, cela va bien au-delà de la compassion. Comme une envie de les protéger, de les mettre dans une bulle d'amour, de douceur et de bonheur.
Un récit mélancolique qui oscille entre deux mondes, l'un est douceur, tristesse, incompréhension, l'autre est méchanceté, bassesse, cachotterie.
Amour, douleur, mensonge, trahison, différence, rancœur, vengeance, pardon, paix ...
Une bonne intention de l'un par pure bonté, don de soi et innocence.
Une bonne intention de l'autre par amour mais par manigance et manipulation.
Tout et son contraire, les mots s'envolent subtilement avec le style si particulier de Solène Bakowski. Toujours dans la justesse de langage, dévoiler les vies cabossées, les secrets de familles.
La narration nous permet d'entrer dans ce cataclysme familiale, elle nous amène à détester Eliane, à nous mettre en colère face à l'inertie de Claude, à la tristesse pour Rémi, à la tendresse devant Magalie et surtout à aimer Mati.
Mati, Mati est un prénom que je vais rajouter à ma liste des prénoms coup de cœur qui ne me quittent pas.
Un prénom qui restera dans un petit tiroir bien au chaud dans un coin de ma tête et elle va se faire des petits copains et copines qui tout comme elle sont meurtris par la vie, par les adultes.
Un roman coup de coeur.