- Auteur
- Sandrone DAZIERI
- Titre
- TU TUERAS LE ROI
- Maison d'édition
- Relecture
- Oui
- Service de presse
- Non
**Chronique Littéraire : *Tu tueras le Roi* de Sandrone Dazieri**
Me voilà arrivée au terme de cette trilogie aussi captivante qu’addictive. Depuis *Tu tueras le Père* jusqu’à cet ultime volet, Sandrone Dazieri a su me happer dans une toile d’intrigues magistralement orchestrées, où chaque détail compte et où les personnages se dévoilent toujours un peu plus, tout en conservant une part de mystère.
Avec *Tu tueras le Roi*, je pensais enfin pouvoir assembler toutes les pièces du puzzle et mettre de l’ordre dans cet enchaînement complexe. Mais que nenni ! Dazieri, avec un brio remarquable, m’a encore davantage perdue dans les décombres de sa trame tortueuse et fascinante. À chaque page, j’ai été confrontée à de nouveaux rebondissements, à des révélations inattendues et à une tension qui n’a cessé de croître.
Quel maestro ! Réussir à me tenir en haleine sur trois tomes, à me faire douter, espérer, et même craindre pour l’avenir de Colomba et Dante, est un exploit littéraire rare. Ces deux personnages, profondément humains et imparfaits, m’ont accompagnée tout au long de cette trilogie, et c’est avec une certaine nostalgie que j’ai refermé ce dernier tome.
Colomba et Dante resteront gravés dans ma mémoire, tout comme l’atmosphère unique de cette saga, où l’obscurité côtoie constamment l’espoir. La plume de Sandrone Dazieri est un régal : précise, immersive et follement efficace. Et si cette trilogie touche à sa fin, je n’en ai pas fini avec cet auteur au talent incontestable.
Un conseil ? Plongez sans hésiter dans cette trilogie, mais préparez-vous à être désorienté, bouleversé et complètement happé. Un grand bravo à l’auteur pour ce chef-d’œuvre du thriller italien contemporain !
Me voilà arrivée au terme de cette trilogie aussi captivante qu’addictive. Depuis *Tu tueras le Père* jusqu’à cet ultime volet, Sandrone Dazieri a su me happer dans une toile d’intrigues magistralement orchestrées, où chaque détail compte et où les personnages se dévoilent toujours un peu plus, tout en conservant une part de mystère.
Avec *Tu tueras le Roi*, je pensais enfin pouvoir assembler toutes les pièces du puzzle et mettre de l’ordre dans cet enchaînement complexe. Mais que nenni ! Dazieri, avec un brio remarquable, m’a encore davantage perdue dans les décombres de sa trame tortueuse et fascinante. À chaque page, j’ai été confrontée à de nouveaux rebondissements, à des révélations inattendues et à une tension qui n’a cessé de croître.
Quel maestro ! Réussir à me tenir en haleine sur trois tomes, à me faire douter, espérer, et même craindre pour l’avenir de Colomba et Dante, est un exploit littéraire rare. Ces deux personnages, profondément humains et imparfaits, m’ont accompagnée tout au long de cette trilogie, et c’est avec une certaine nostalgie que j’ai refermé ce dernier tome.
Colomba et Dante resteront gravés dans ma mémoire, tout comme l’atmosphère unique de cette saga, où l’obscurité côtoie constamment l’espoir. La plume de Sandrone Dazieri est un régal : précise, immersive et follement efficace. Et si cette trilogie touche à sa fin, je n’en ai pas fini avec cet auteur au talent incontestable.
Un conseil ? Plongez sans hésiter dans cette trilogie, mais préparez-vous à être désorienté, bouleversé et complètement happé. Un grand bravo à l’auteur pour ce chef-d’œuvre du thriller italien contemporain !