- Auteur
- Vanaly NOMAIN
- Titre
- SOMBRENT LES ÂMES
- Maison d'édition
- Autoédition
- Relecture
- Oui
- Service de presse
- Non
4ème de couverture
Ugo vit dans la rue. Il dessine pour apaiser les voix qui hurlent dans sa tête.
Léa vit dans un minuscule appartement. Elle écrit pour repousser les démons du passé.
Sophie est psychiatre. Elle cherche Ugo désespérément.
Trois âmes meurtries, trois voix torturées qui se croisent, se cherchent et vont tout faire pour ne pas sombrer.
***
Peut-on entendre le bruit de l'âme qui sombre ?
Peut-on le déceler lorsque l'appel se transforme en un souffle sourd, lorsqu'il n'est plus que murmure lointain ?
Nous trébuchons, souvent.
Nous nous effondrons, parfois.
Il est erroné de penser que la vie est plus forte que tout, faux de croire que les épreuves nous rendent toujours plus valeureux.
La vie abîme nos rêves et nos espoirs, parfois jusqu'à la moindre parcelle de lumière. Elle dépose des fleurs et des ronces sur notre chemin, au hasard, au détour d'une promenade. Il nous arrive de les effleurer, de les arracher ou de nous y écorcher.
CHRONIQUE
Un roman qui pose un regard d’une implacable mélancolie sur une certaine réalité de notre société autocentrée sur elle-même, qui n’accepte pas la différence et ne sait pas tendre la main à ceux qui en ont le plus besoin. Vanaly Nomain pointe le doigt avec subtilité sur le manque d’humanité et le désintéressement que l’on trouve à chaque coin de rue, en bas de chez soi ou derrière la porte de son voisin.
À travers de son livre elle dresse le portrait de ses trois personnages principaux, trois écorchés vifs de la vie à divers degrés d’avancement dans des névroses respectives. Par-delà ces mots pleins de douceurs elle a tressé une histoire d’une beauté brumeuse, des âmes en perditions entourées d’un spleen inexorable.
La narration se fait en interne par le biais des trois protagonistes, chapitres après chapitres, ils nous dévoileront leurs personnalités une partie de leurs histoires, leurs souffrances. Des chemins qui vont se croiser à un moment donné de la vie, était-ce le destin ?
C’était juste le choix de l’auteure afin de nous confier un instant capturé dans la multitude des vies grouillantes autour de nous, un instantané qui lui tient particulièrement à cœur.
La plume est agréable, duveteuse tout en restant lucide, le lecteur ne tombera pas dans le sentimentalisme. Ce roman n’a pas de couleur si ce n’est celle du chagrin et des regrets. Il n’est ni rose, ni noir, il n’est ni rêveur ni chimérique, c’est un roman passionné, mystérieux tout en restant réaliste.
Un récit d’âmes sombrant à cause des aléas de la vie qui n’est pas toujours plus forte que tout.
À découvrir.
Ugo vit dans la rue. Il dessine pour apaiser les voix qui hurlent dans sa tête.
Léa vit dans un minuscule appartement. Elle écrit pour repousser les démons du passé.
Sophie est psychiatre. Elle cherche Ugo désespérément.
Trois âmes meurtries, trois voix torturées qui se croisent, se cherchent et vont tout faire pour ne pas sombrer.
***
Peut-on entendre le bruit de l'âme qui sombre ?
Peut-on le déceler lorsque l'appel se transforme en un souffle sourd, lorsqu'il n'est plus que murmure lointain ?
Nous trébuchons, souvent.
Nous nous effondrons, parfois.
Il est erroné de penser que la vie est plus forte que tout, faux de croire que les épreuves nous rendent toujours plus valeureux.
La vie abîme nos rêves et nos espoirs, parfois jusqu'à la moindre parcelle de lumière. Elle dépose des fleurs et des ronces sur notre chemin, au hasard, au détour d'une promenade. Il nous arrive de les effleurer, de les arracher ou de nous y écorcher.
CHRONIQUE
Un roman qui pose un regard d’une implacable mélancolie sur une certaine réalité de notre société autocentrée sur elle-même, qui n’accepte pas la différence et ne sait pas tendre la main à ceux qui en ont le plus besoin. Vanaly Nomain pointe le doigt avec subtilité sur le manque d’humanité et le désintéressement que l’on trouve à chaque coin de rue, en bas de chez soi ou derrière la porte de son voisin.
À travers de son livre elle dresse le portrait de ses trois personnages principaux, trois écorchés vifs de la vie à divers degrés d’avancement dans des névroses respectives. Par-delà ces mots pleins de douceurs elle a tressé une histoire d’une beauté brumeuse, des âmes en perditions entourées d’un spleen inexorable.
La narration se fait en interne par le biais des trois protagonistes, chapitres après chapitres, ils nous dévoileront leurs personnalités une partie de leurs histoires, leurs souffrances. Des chemins qui vont se croiser à un moment donné de la vie, était-ce le destin ?
C’était juste le choix de l’auteure afin de nous confier un instant capturé dans la multitude des vies grouillantes autour de nous, un instantané qui lui tient particulièrement à cœur.
La plume est agréable, duveteuse tout en restant lucide, le lecteur ne tombera pas dans le sentimentalisme. Ce roman n’a pas de couleur si ce n’est celle du chagrin et des regrets. Il n’est ni rose, ni noir, il n’est ni rêveur ni chimérique, c’est un roman passionné, mystérieux tout en restant réaliste.
Un récit d’âmes sombrant à cause des aléas de la vie qui n’est pas toujours plus forte que tout.
À découvrir.