- Auteur
- CALI
- Titre
- SEULS LES ENFANTS SAVENT AIMER
- Maison d'édition
- Cherche Midi
- Relecture
- Oui
- Service de presse
- Non
Roman, 191pages
4ème de couverture :
Seuls les enfants savent aimer.
Seuls les enfants aperçoivent l'amour au loin, qui arrive de toute sa lenteur, de toute sa douceur, pour venir nous consumer.
Seuls les enfants embrassent le désespoir vertigineux de la solitude quand l'amour s'en va.
Seuls les enfants meurent d'amour.
Seuls les enfants jouent leur cœur à chaque instant, à chaque souffle.
Tu me manques à crever, maman.
Jusqu'à quand vas-tu mourir ?
CHRONIQUE
Un petit roman qui prend aux tripes et fait sortir des émotions très éprouvantes dès le début de l'histoire et qui ne m'ont pas quitté jusqu'à la fin.
La gorge nouée, les yeux humides qui se retiennent, la chair de poule d'un désarroi intense, prise d'une empathie démesurée pour le petit Bruno, innocent de 6 ans dans ce monde d'adulte face à la plus pénible des réalités qu'un enfant puisse vivre.
Une histoire sortie de la bouche d'un très jeune enfant, avec un phrasé qui lui appartient, un regard qui a du mal à comprendre son petit monde qui s'est écroulé. Les adultes sont présents, sans l'être réellement, je n'ai eu qu'une envie, le cajoler, le câliner, lui dire que non tout n'ira pas bien, qu'il faudra du temps, beaucoup de temps, mais qu'avec persévérance et beaucoup d'amour un jour il verra le monde différemment.
Et que oui quand on est mort c'est pour toujours !
Un livre d'une grande tristesse et mélancolie, je ne ferai pas l'affront de juger la plume de Cali, auteur-compositeur-interprète. Je peux juste dire que pour un premier roman il soulève les cœurs par son texte plein de chagrin poétique.
Ses mots sont des larmes qui coulent de nos âmes sensibles,
Petit Bruno prend soin de toi et si vous le croisez allez vers lui et prenez le dans vos bras
4ème de couverture :
Seuls les enfants savent aimer.
Seuls les enfants aperçoivent l'amour au loin, qui arrive de toute sa lenteur, de toute sa douceur, pour venir nous consumer.
Seuls les enfants embrassent le désespoir vertigineux de la solitude quand l'amour s'en va.
Seuls les enfants meurent d'amour.
Seuls les enfants jouent leur cœur à chaque instant, à chaque souffle.
Tu me manques à crever, maman.
Jusqu'à quand vas-tu mourir ?
CHRONIQUE
Un petit roman qui prend aux tripes et fait sortir des émotions très éprouvantes dès le début de l'histoire et qui ne m'ont pas quitté jusqu'à la fin.
La gorge nouée, les yeux humides qui se retiennent, la chair de poule d'un désarroi intense, prise d'une empathie démesurée pour le petit Bruno, innocent de 6 ans dans ce monde d'adulte face à la plus pénible des réalités qu'un enfant puisse vivre.
Une histoire sortie de la bouche d'un très jeune enfant, avec un phrasé qui lui appartient, un regard qui a du mal à comprendre son petit monde qui s'est écroulé. Les adultes sont présents, sans l'être réellement, je n'ai eu qu'une envie, le cajoler, le câliner, lui dire que non tout n'ira pas bien, qu'il faudra du temps, beaucoup de temps, mais qu'avec persévérance et beaucoup d'amour un jour il verra le monde différemment.
Et que oui quand on est mort c'est pour toujours !
Un livre d'une grande tristesse et mélancolie, je ne ferai pas l'affront de juger la plume de Cali, auteur-compositeur-interprète. Je peux juste dire que pour un premier roman il soulève les cœurs par son texte plein de chagrin poétique.
Ses mots sont des larmes qui coulent de nos âmes sensibles,
Petit Bruno prend soin de toi et si vous le croisez allez vers lui et prenez le dans vos bras