- Auteur
- Tony PERRAUT
- Titre
- SANS JAMAIS DE RETOURNER
- Maison d'édition
- Autoédition
- Relecture
- Oui
- Service de presse
- Oui
Nouvelle, 54 pages
Disponible dès le 12 mai 2018
4ème de couverture
Sans jamais te retourner, tu vas vivre cette journée.
Tu vas tout donner, tout penser, tout imaginer.
C’est dans cette forêt que tu vas comprendre la solitude
C’est dans ce bus que tu vas ouvrir ton ressenti,
Mais tu connais l’issue de cette journée,
Tu sais que demain tu ne verras pas le soleil se lever.
Alors fonce gamin, va mourir.
Tony Perraut nous livre une nouvelle écrite tout en pudeur et en délicatesse sur un sujet bien difficile à traiter, une phrase me vient à l’esprit en lisant ce texte : « Le dernier jour du reste de ta vie », tout est dans cette phrase.
Tony Perraut dévoile son personnage dans une prose poétique accompagnée de figure de style, nous emmenant sur un chemin inconnue de l’inconscient ou pas !
Le lecteur va voyager dans la psyché bienveillante et mélancolique du narrateur, les ressources de la langue sont exploitées afin de susciter en nous les émotions qui s’accentuent au fil des mots couchés sur le papier.
L’espace-temps est volontairement flou tournant autour des réflexions du protagoniste dont on ne connaît pas l’identité. C’est un jeune homme en souffrance psychologique, il est le narrateur et l’acteur principal de la nouvelle, prenant par moment de la distanciation avec lui-même, en se parlant à lui-même sous forme de tutoiement.
Je ne lis habituellement pas de nouvelle car j’ai besoin de m’approprier la structure, le cadre et les personnages d’un roman. Cependant je ne peux nier que Tony Perraut a du talent dans ce domaine, j’ai pris plaisir à découvrir ce petit texte qui m’a laissé perplexe dans le début et qui a réussi à me faire frissonner d’émotions sur la fin.
Disponible dès le 12 mai 2018
4ème de couverture
Sans jamais te retourner, tu vas vivre cette journée.
Tu vas tout donner, tout penser, tout imaginer.
C’est dans cette forêt que tu vas comprendre la solitude
C’est dans ce bus que tu vas ouvrir ton ressenti,
Mais tu connais l’issue de cette journée,
Tu sais que demain tu ne verras pas le soleil se lever.
Alors fonce gamin, va mourir.
Tony Perraut nous livre une nouvelle écrite tout en pudeur et en délicatesse sur un sujet bien difficile à traiter, une phrase me vient à l’esprit en lisant ce texte : « Le dernier jour du reste de ta vie », tout est dans cette phrase.
Tony Perraut dévoile son personnage dans une prose poétique accompagnée de figure de style, nous emmenant sur un chemin inconnue de l’inconscient ou pas !
Le lecteur va voyager dans la psyché bienveillante et mélancolique du narrateur, les ressources de la langue sont exploitées afin de susciter en nous les émotions qui s’accentuent au fil des mots couchés sur le papier.
L’espace-temps est volontairement flou tournant autour des réflexions du protagoniste dont on ne connaît pas l’identité. C’est un jeune homme en souffrance psychologique, il est le narrateur et l’acteur principal de la nouvelle, prenant par moment de la distanciation avec lui-même, en se parlant à lui-même sous forme de tutoiement.
Je ne lis habituellement pas de nouvelle car j’ai besoin de m’approprier la structure, le cadre et les personnages d’un roman. Cependant je ne peux nier que Tony Perraut a du talent dans ce domaine, j’ai pris plaisir à découvrir ce petit texte qui m’a laissé perplexe dans le début et qui a réussi à me faire frissonner d’émotions sur la fin.