- Auteur
- Fabio M. MITCHELLI
- Titre
- LE TUEUR AU MIROIR
- Maison d'édition
- Robert Laffont
- Relecture
- Oui
- Service de presse
- Non
4ème de couverture
" Je n'ai fait que leur donner un instant de gloire. " Willy B. Richardson, alias William R. Bradford (1948-2008), le " Killer Photographer ".
Fasciné par leurs tatouages, il les appâte avec son appareil photo, fige leurs désirs de starlettes sur du papier glacé, puis les tue et s'empare de ce qu'il convoite. Le lendemain, on retrouve le corps de ces jeunes femmes sur les berges du Saint-Laurent, le pubis orné d'éclats de miroir et un morceau de peau découpé.
Pour piéger celui qu'à Montréal on appelle déjà " le tueur au miroir ", il faut des flics borderline : Louise Beaulieu, qui se fiche des limites et des règles, et Carrie Callan, qui, sous son air bien sage, est un vrai pitbull.
Des photographies à clé, un secret de famille, des messages cryptés... Le passé rattrape Louise. Désorientée, elle ment et triche. Et Carrie soupçonne l'impensable : des liens entre l'enquêtrice québécoise et Singleton, le redoutable tueur en série qu'elles ont traqué ensemble un an auparavant.
CHRONIQUE
Un p…. de page turner, une lecture incroyablement addictive, impossible de se détacher de cette histoire, Louise, Singleton …. Pourquoi ai-je déjà terminé ce thriller, POURQUOI ?
Cela ne peut se terminer ainsi, ce n’est pas possible, dis Fabio il faut faire quelque chose, tu ne peux les laisser ainsi, tu n’as pas le droit, c’est totalement interdit !
Les tueurs en série, les psychopathes nous font toujours frissonner, pour quelles raisons est-ce qu’ils nous fascinent tant ? Est-ce que cela nous ramène à une certaine noirceur que nous avons chacun au fond de nous ? Ou serait-ce un phénomène de banalisation de notre société envers toute la cruauté qui nous entoure au quotidien et qui fait ressurgir ces personnalités complexes ? Un bon sujet de philo .... à vos copies.
Bien entendu, dans les livres, l’approche abordée par l’auteur a toute son importance. Quand il arrive à toucher la corde sensible qui est en moi malgré toutes les horreurs et la noirceur de ces pervers, pour ma part, l’auteur gagne haut la main son sacre parmi les sacres.
Fabio M Mitchelli a hissé Singleton au rang de Hirtmann de Bernard Minier, ces deux psychopathes (pas les auteurs hein !) restent rangés dans un tiroir de ma mémoire bien au chaud.
Pour moi zéro défaut dans ce thriller, le cadre, le langage, les personnages, l’énigme, le déroulement, l’épilogue, tout est parfait !!
Sauf la fin …………… Non je ne veux pas !
J’ai attendu un moment avant d’avoir ce livre, je le voulais en broché avec une dédicace, chose faite lors d'une rencontre à Cluses en mars dernier, et franchement merci, car en plus d’avoir pris énormément de plaisir à le lire, je me suis remémorée les échanges de cette soirée et cela a permis de donner une dimension particulière à cette lecture.
" Je n'ai fait que leur donner un instant de gloire. " Willy B. Richardson, alias William R. Bradford (1948-2008), le " Killer Photographer ".
Fasciné par leurs tatouages, il les appâte avec son appareil photo, fige leurs désirs de starlettes sur du papier glacé, puis les tue et s'empare de ce qu'il convoite. Le lendemain, on retrouve le corps de ces jeunes femmes sur les berges du Saint-Laurent, le pubis orné d'éclats de miroir et un morceau de peau découpé.
Pour piéger celui qu'à Montréal on appelle déjà " le tueur au miroir ", il faut des flics borderline : Louise Beaulieu, qui se fiche des limites et des règles, et Carrie Callan, qui, sous son air bien sage, est un vrai pitbull.
Des photographies à clé, un secret de famille, des messages cryptés... Le passé rattrape Louise. Désorientée, elle ment et triche. Et Carrie soupçonne l'impensable : des liens entre l'enquêtrice québécoise et Singleton, le redoutable tueur en série qu'elles ont traqué ensemble un an auparavant.
CHRONIQUE
Un p…. de page turner, une lecture incroyablement addictive, impossible de se détacher de cette histoire, Louise, Singleton …. Pourquoi ai-je déjà terminé ce thriller, POURQUOI ?
Cela ne peut se terminer ainsi, ce n’est pas possible, dis Fabio il faut faire quelque chose, tu ne peux les laisser ainsi, tu n’as pas le droit, c’est totalement interdit !
Les tueurs en série, les psychopathes nous font toujours frissonner, pour quelles raisons est-ce qu’ils nous fascinent tant ? Est-ce que cela nous ramène à une certaine noirceur que nous avons chacun au fond de nous ? Ou serait-ce un phénomène de banalisation de notre société envers toute la cruauté qui nous entoure au quotidien et qui fait ressurgir ces personnalités complexes ? Un bon sujet de philo .... à vos copies.
Bien entendu, dans les livres, l’approche abordée par l’auteur a toute son importance. Quand il arrive à toucher la corde sensible qui est en moi malgré toutes les horreurs et la noirceur de ces pervers, pour ma part, l’auteur gagne haut la main son sacre parmi les sacres.
Fabio M Mitchelli a hissé Singleton au rang de Hirtmann de Bernard Minier, ces deux psychopathes (pas les auteurs hein !) restent rangés dans un tiroir de ma mémoire bien au chaud.
Pour moi zéro défaut dans ce thriller, le cadre, le langage, les personnages, l’énigme, le déroulement, l’épilogue, tout est parfait !!
Sauf la fin …………… Non je ne veux pas !
J’ai attendu un moment avant d’avoir ce livre, je le voulais en broché avec une dédicace, chose faite lors d'une rencontre à Cluses en mars dernier, et franchement merci, car en plus d’avoir pris énormément de plaisir à le lire, je me suis remémorée les échanges de cette soirée et cela a permis de donner une dimension particulière à cette lecture.