- Auteur
- Marie-Françoise CHEVALIER LE PAGE
- Titre
- LA PART D'OMBRE
- Maison d'édition
- Les éditions la Safranède
- Relecture
- Oui
- Service de presse
- Oui
4ème de couverture
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Marie avait 14 ans… Vincent à peine 15. Pourtant il l’a sauvagement tuée après l’avoir violée.
Cela aurait pu n’être qu’un simple fait divers. Mais le grimoire de son défunt mari – journaliste et écrivain – retrouvé par la Veuve K. au fond d’un tiroir au grenier, recèle en réalité de lourds secrets
L’évocation en alternance, opposition, et effet miroir des souffrances de la mère de la victime et de la mère de l’assassin dans ce récit inachevé l’intrigue vivement et elle décide de partir enquêter en limousin. Elle ne se doute pas qu’elle va involontairement conduire chacun des protagonistes de cette terrible tragédie à dévoiler sa part d’ombre secrète, et qu’elle va être malgré elle la cause du drame absolu révélé par un épilogue totalement imprévu.
Inspiré des faits réels, ce roman à suspense nous interroge et nous interroge et nous interpelle sur des sujets aussi intemporels que d’une cuisante actualité.
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Un roman passionnant et effroyable en même temps, un récit totalement incroyable sur une Histoire de Mères, mais pas que…
Peut-on mettre en parallèle et comparer les sentiments de Claire la mère de Vincent l’assassin et ceux de Marie-Thérèse la mère de Marie la victime, est une thématique centrale de ce roman.
Comment réagir lorsque la chair de sa chair commet l’irréparable, son enfant qui répand le mal et qui viole et tue. Une souffrance intolérable d’avoir mis au monde cet enfant, de lui avoir transmis certains gênes. Elle éprouver une énorme culpabilité de par son passé, ses origines, mais est-elle pour autant responsable ? Est-on responsable d’un passé que l’on subit, sur lequel on a aucun pouvoir et quelles conséquences cela peut-il avoir son sur enfant ?
Claire doit vivre avec cette culpabilité.
Qu’aurait-elle fait si elle avait su ?
Rien de pire que la mort son enfant surtout dans de telles conditions. Après le choc initial vient la colère puis la haine. La Haine envers l’assassin, celle qui dévaste tout qui maintient debout, nous pousse en avant. La Haine qui est plus forte que la vengeance, plus forte que la mort, un sentiment puissant incontrôlable. La Haine qui donne un but à toute cette souffrance, qui permet de « survivre ». Celle qui ronge l’âme jusqu’à l’acceptation de cette disparition et qui amène à comprendre que ce n’est pas la haine qui est plus fort que la mort mais l’Amour.
Et la culpabilité de ne pas avoir su protéger son enfant. Qu’aurait-elle fait si elle avait su ?
La structure narrative du roman est totalement inattendue, c’est comme si le lecteur se trouve dans le « making off » de la construction du roman du roman susnommé avec en fil rouge une similitude de sentiments éprouvés par les deux mères.
Le narrateur se trouve être l’auteur La Veuve K., elle va nous dévoiler au fil des pages la reprise de l’enquête journalistique de feu son mari sur un drame ayant eu lieu bien des années auparavant à travers les souffrances des deux mères.
Les faits semblent être réels jusqu’au moment où l’auteur doit terminer ce manuscrit et inventer la suite. C’est intéressant de voir à cet instant le cheminement et les divagations de la pensée pour trouver l’inspiration et arriver à l’épilogue imprévu.
Un auteur est-il responsable des faits que vont engendrer ses écrits et après ressentir de la culpabilité ?
Qu’aurait-il fait si il avait su ?
À la fin de ce livre je me suis sentie perplexe, un manuscrit inachevé qui engendre un récit sur la reprise et la rédaction dudit manuscrit avec au final la sortie d’un roman qui n’est pas ce roman !!
Une histoire folle, insensée addictive, avec de très fortes émotions, une incroyable découverte que je ne regrette absolument pas.
Mais au final, Qu'aurais-je fait si j'avais su ?
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Marie avait 14 ans… Vincent à peine 15. Pourtant il l’a sauvagement tuée après l’avoir violée.
Cela aurait pu n’être qu’un simple fait divers. Mais le grimoire de son défunt mari – journaliste et écrivain – retrouvé par la Veuve K. au fond d’un tiroir au grenier, recèle en réalité de lourds secrets
L’évocation en alternance, opposition, et effet miroir des souffrances de la mère de la victime et de la mère de l’assassin dans ce récit inachevé l’intrigue vivement et elle décide de partir enquêter en limousin. Elle ne se doute pas qu’elle va involontairement conduire chacun des protagonistes de cette terrible tragédie à dévoiler sa part d’ombre secrète, et qu’elle va être malgré elle la cause du drame absolu révélé par un épilogue totalement imprévu.
Inspiré des faits réels, ce roman à suspense nous interroge et nous interroge et nous interpelle sur des sujets aussi intemporels que d’une cuisante actualité.
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Un roman passionnant et effroyable en même temps, un récit totalement incroyable sur une Histoire de Mères, mais pas que…
Peut-on mettre en parallèle et comparer les sentiments de Claire la mère de Vincent l’assassin et ceux de Marie-Thérèse la mère de Marie la victime, est une thématique centrale de ce roman.
Comment réagir lorsque la chair de sa chair commet l’irréparable, son enfant qui répand le mal et qui viole et tue. Une souffrance intolérable d’avoir mis au monde cet enfant, de lui avoir transmis certains gênes. Elle éprouver une énorme culpabilité de par son passé, ses origines, mais est-elle pour autant responsable ? Est-on responsable d’un passé que l’on subit, sur lequel on a aucun pouvoir et quelles conséquences cela peut-il avoir son sur enfant ?
Claire doit vivre avec cette culpabilité.
Qu’aurait-elle fait si elle avait su ?
Rien de pire que la mort son enfant surtout dans de telles conditions. Après le choc initial vient la colère puis la haine. La Haine envers l’assassin, celle qui dévaste tout qui maintient debout, nous pousse en avant. La Haine qui est plus forte que la vengeance, plus forte que la mort, un sentiment puissant incontrôlable. La Haine qui donne un but à toute cette souffrance, qui permet de « survivre ». Celle qui ronge l’âme jusqu’à l’acceptation de cette disparition et qui amène à comprendre que ce n’est pas la haine qui est plus fort que la mort mais l’Amour.
Et la culpabilité de ne pas avoir su protéger son enfant. Qu’aurait-elle fait si elle avait su ?
La structure narrative du roman est totalement inattendue, c’est comme si le lecteur se trouve dans le « making off » de la construction du roman du roman susnommé avec en fil rouge une similitude de sentiments éprouvés par les deux mères.
Le narrateur se trouve être l’auteur La Veuve K., elle va nous dévoiler au fil des pages la reprise de l’enquête journalistique de feu son mari sur un drame ayant eu lieu bien des années auparavant à travers les souffrances des deux mères.
Les faits semblent être réels jusqu’au moment où l’auteur doit terminer ce manuscrit et inventer la suite. C’est intéressant de voir à cet instant le cheminement et les divagations de la pensée pour trouver l’inspiration et arriver à l’épilogue imprévu.
Un auteur est-il responsable des faits que vont engendrer ses écrits et après ressentir de la culpabilité ?
Qu’aurait-il fait si il avait su ?
À la fin de ce livre je me suis sentie perplexe, un manuscrit inachevé qui engendre un récit sur la reprise et la rédaction dudit manuscrit avec au final la sortie d’un roman qui n’est pas ce roman !!
Une histoire folle, insensée addictive, avec de très fortes émotions, une incroyable découverte que je ne regrette absolument pas.
Mais au final, Qu'aurais-je fait si j'avais su ?