- Auteur
- Karine Vivier
- Titre
- L'HUMANITE EN MOINS
- Maison d'édition
- Autoédition
- Relecture
- Oui
- Service de presse
- Oui
Roman noir, 181 pages
4ème de couverture
Que peut-il y avoir de commun entre une fillette, un ex-taulard et une mère de famille ?
« L’humanité en moins » met en scène trois personnages qui ont, à un moment de leur existence, perdu leur humanité aux yeux de la société. Trois personnages, trois récits parallèles, une même histoire. Un premier roman noir.
Chronique
Ce récit est un petit livre qui se lit dans la foulée. Une histoire, ou plutôt des histoires vraiment noires sur ce qu’il peut arriver de pire à des parents.
La narration nous mets face à plusieurs points de vue différents, les victimes, les coupables et les innocents.
Karine Vivier sait trouver les mots sans tomber dans le glauque, les souffrances des uns et des autres sont bien dosées.
La noirceur est là sans être trop présente, ont la sens, on la subodore, tout est subtilement dosé.
Les parcours de vie, des uns et des autres, d’avant ces terribles faits, ainsi que les réactions sur le moment du déroulement sont d’une grande justesse, la colère, le désespoir, le dépérissement, l’éloignement et pour finir le besoin de l’autre pour partager ce malheur.
Rien n’est jamais acquis, surtout pas le bonheur, il faut en profiter tant qu’il est présent que l’on peut le toucher des doigts, le prendre dans nos bras. Profiter, profiter car personne ne sait ce que réserve l’avenir.
Oui, je sais, c’est très facile à dire, mais c’est un peu la morale de ce petit roman noir.
4ème de couverture
Que peut-il y avoir de commun entre une fillette, un ex-taulard et une mère de famille ?
« L’humanité en moins » met en scène trois personnages qui ont, à un moment de leur existence, perdu leur humanité aux yeux de la société. Trois personnages, trois récits parallèles, une même histoire. Un premier roman noir.
Chronique
Ce récit est un petit livre qui se lit dans la foulée. Une histoire, ou plutôt des histoires vraiment noires sur ce qu’il peut arriver de pire à des parents.
La narration nous mets face à plusieurs points de vue différents, les victimes, les coupables et les innocents.
Karine Vivier sait trouver les mots sans tomber dans le glauque, les souffrances des uns et des autres sont bien dosées.
La noirceur est là sans être trop présente, ont la sens, on la subodore, tout est subtilement dosé.
Les parcours de vie, des uns et des autres, d’avant ces terribles faits, ainsi que les réactions sur le moment du déroulement sont d’une grande justesse, la colère, le désespoir, le dépérissement, l’éloignement et pour finir le besoin de l’autre pour partager ce malheur.
Rien n’est jamais acquis, surtout pas le bonheur, il faut en profiter tant qu’il est présent que l’on peut le toucher des doigts, le prendre dans nos bras. Profiter, profiter car personne ne sait ce que réserve l’avenir.
Oui, je sais, c’est très facile à dire, mais c’est un peu la morale de ce petit roman noir.