- Auteur
- David RUIZ MARTIN
- Titre
- JE SUIS UN DES LEURS
- Maison d'édition
- Autoédition
- Relecture
- Oui
- Service de presse
- Oui
Pages : 389
Disponible dès le 11 mars 2018
__________________________
4ème de couverture
---------------------------
Lorsque Raùl Pontes, journaliste désabusé et mal dans sa peau, apprend l'existence d'un grand-père passé pour mort depuis trente ans, son sang ne fait qu'un tour. Qui est cet homme et pourquoi a-t-il disparue aussi longtemps ?
Persuadé que ce nouveau coup est l'oeuvre de ses soeurs et de son irresponsable mèree un seul choix s'offre alors à lui : celui de pousser la porte de ce passé occulte.
Horacio, ce grand-père au comportement amer lui demande alors une faveur étrange : retrouver son amour perdu il y a plus de soixante-dix-ans, lors de la guerre civile espagnole.
C'est sceptique que, finalement, Raùl accepte, ignorant que c'est un pan entieer de sa propre histoire qu'il s'apprête à déterrer.
Ses indices le mèneront jusque das les rues bondées de la capitale espagnole, en plein coeur du Madrid historique et de sa ferveur perpétuelle...
...mais le pousseront, aussi, bien plus loin, aux limites de l'insoutenable, où se mêlent les oeuvres d'amour et de mort d'une guerre civile injuste et fratricide. Lancé sur les traces de cet amour impossible, Raùl ignore que cette plongée fulgurante dans ce pays rongé par le souvenir ébranlera ses convictions et les fondements mêmes de sa propre existence.
----------------------------
J'ai découvert un roman sous fond historique très boulversant avec deux différents aspects essentiels qui font l'excellente trame de ce livre. Une histoire écrite avec le cœur.
Nous avons le file rouge que se prénomme Raùl, un trentenaire en quête d'identité avec des difficultés relationnelles familiales.
Un secret mis à jour comme dans beaucoup de famille par un pur hasard ou un événement inattendu. Le genre de secret qui bouleverse tous les fondements mêmes et toutes les croyances acquises.
Un sujet de nombreuse fois abordé mais qui dans ce récit nous revèle plus de beauté, d'amour, de partage, de don de soi et de valeurs familiales indéniables que de querelles.
L'histoire nous fait voyagé de la Suisse à l'Espagne et la découverte de Madrid, sa chaleur humaine, la façon dont les habitants sont ouverts, joyeux malgré leur histoire passée, malgré leur présent difficile. Rien n'entame cette volonté de vivre et de faire face, une belle leçon de courage et de force de vie.
En suivant le file rouge de l'histoire familiale de Raùl, David Ruiz Martin nous plonge dans l'histoire de la guerre civile Espagnole.
Le commencement de ce conflit, les souffrances endurées par la population durant cette période, les massacres, les charniers et Guernica.
Puis après la seconde guerre mondiale la dictature de Franco, avec tous les crimes perpétrés au nom d'un homme.
Toute une partie de l'histoire de ce pays que je ne connaissais pas dans le détail. Toute la souffrance d'un peuple opprimé et réduit au silence sans reconnaissance aucune jusqu'il y a peu de temps.
Tous ces moments du livre nous sont dévoilés avec subtilité, sans lourdeur et sans tomber dans un côté cours d'histoire rébarbatif. Bien au contraire, ce passé est entrecoupé du présent et de la propre histoire de Raùl, mais l'envie d'en savoir plus est restée très prenante, et je retrouvais ce passé à chaque fois avec plaisir.
Beaucoup de passage du livre m'ont donné des frissons tant l'émotion était forte et palpable, des aïeux qu'on a envie et besoin de serrer dans nos bras, une famille incroyable.
Est-ce que la souffrance rapproche les êtres ?
Est-ce une façon très méditerranéenne de percevoir la famille ? Je ne sais, dans tous les cas cette dernière m'a profondément touchée.
En résumé, j'ai fait la découverte d'un très beau livre, d'une belle histoire, d'un beau roman.
Et je ne peux terminé ce retour sans citer cette phrase du livre :
"Ce qui ne m'a pas tué a rendu ma vie plus belle"
Disponible dès le 11 mars 2018
__________________________
4ème de couverture
---------------------------
Lorsque Raùl Pontes, journaliste désabusé et mal dans sa peau, apprend l'existence d'un grand-père passé pour mort depuis trente ans, son sang ne fait qu'un tour. Qui est cet homme et pourquoi a-t-il disparue aussi longtemps ?
Persuadé que ce nouveau coup est l'oeuvre de ses soeurs et de son irresponsable mèree un seul choix s'offre alors à lui : celui de pousser la porte de ce passé occulte.
Horacio, ce grand-père au comportement amer lui demande alors une faveur étrange : retrouver son amour perdu il y a plus de soixante-dix-ans, lors de la guerre civile espagnole.
C'est sceptique que, finalement, Raùl accepte, ignorant que c'est un pan entieer de sa propre histoire qu'il s'apprête à déterrer.
Ses indices le mèneront jusque das les rues bondées de la capitale espagnole, en plein coeur du Madrid historique et de sa ferveur perpétuelle...
...mais le pousseront, aussi, bien plus loin, aux limites de l'insoutenable, où se mêlent les oeuvres d'amour et de mort d'une guerre civile injuste et fratricide. Lancé sur les traces de cet amour impossible, Raùl ignore que cette plongée fulgurante dans ce pays rongé par le souvenir ébranlera ses convictions et les fondements mêmes de sa propre existence.
----------------------------
J'ai découvert un roman sous fond historique très boulversant avec deux différents aspects essentiels qui font l'excellente trame de ce livre. Une histoire écrite avec le cœur.
Nous avons le file rouge que se prénomme Raùl, un trentenaire en quête d'identité avec des difficultés relationnelles familiales.
Un secret mis à jour comme dans beaucoup de famille par un pur hasard ou un événement inattendu. Le genre de secret qui bouleverse tous les fondements mêmes et toutes les croyances acquises.
Un sujet de nombreuse fois abordé mais qui dans ce récit nous revèle plus de beauté, d'amour, de partage, de don de soi et de valeurs familiales indéniables que de querelles.
L'histoire nous fait voyagé de la Suisse à l'Espagne et la découverte de Madrid, sa chaleur humaine, la façon dont les habitants sont ouverts, joyeux malgré leur histoire passée, malgré leur présent difficile. Rien n'entame cette volonté de vivre et de faire face, une belle leçon de courage et de force de vie.
En suivant le file rouge de l'histoire familiale de Raùl, David Ruiz Martin nous plonge dans l'histoire de la guerre civile Espagnole.
Le commencement de ce conflit, les souffrances endurées par la population durant cette période, les massacres, les charniers et Guernica.
Puis après la seconde guerre mondiale la dictature de Franco, avec tous les crimes perpétrés au nom d'un homme.
Toute une partie de l'histoire de ce pays que je ne connaissais pas dans le détail. Toute la souffrance d'un peuple opprimé et réduit au silence sans reconnaissance aucune jusqu'il y a peu de temps.
Tous ces moments du livre nous sont dévoilés avec subtilité, sans lourdeur et sans tomber dans un côté cours d'histoire rébarbatif. Bien au contraire, ce passé est entrecoupé du présent et de la propre histoire de Raùl, mais l'envie d'en savoir plus est restée très prenante, et je retrouvais ce passé à chaque fois avec plaisir.
Beaucoup de passage du livre m'ont donné des frissons tant l'émotion était forte et palpable, des aïeux qu'on a envie et besoin de serrer dans nos bras, une famille incroyable.
Est-ce que la souffrance rapproche les êtres ?
Est-ce une façon très méditerranéenne de percevoir la famille ? Je ne sais, dans tous les cas cette dernière m'a profondément touchée.
En résumé, j'ai fait la découverte d'un très beau livre, d'une belle histoire, d'un beau roman.
Et je ne peux terminé ce retour sans citer cette phrase du livre :
"Ce qui ne m'a pas tué a rendu ma vie plus belle"