- Auteur
- Michael FENRIS
- Titre
- DIAMANTS SUR MACCHABEES
- Maison d'édition
- Autoédition
- Relecture
- Oui
- Service de presse
- Non
Polar, 176 pages
4ème de couverture
David Llerellyn a disparu. Se méfiant de la police, sa sœur Véra décide d'engager un détective pour le retrouver. Mais il semble que beaucoup de personnes s'intéressent à ce petit malfrat sans envergure, et que sa disparition ne soit pas le seul fruit du hasard. Quand le privé Jeff Fergusson commence à enquêter, il soulève certaines choses qui n'ont pas envie d'être révélées, et réveille de vieilles rancœurs. Car rien n'est jamais bon lorsqu'on hante les rues de la Ville…
CHRONIQUE
J’ai découvert une petite pépite du polar, ce roman d’énigme est un réel plaisir de lecture.
Un polar bien chaloupé et cadencé, un style vintage attrayant à souhait qui m’a fait revenir dans les années 80 au temps où mes parents regardaient une série US « Mike Hammer » avec Stacy Keach.
Un privé, Jeff est le personnage principal de cette histoire et nous raconte avec son style déclassé son enquête et ses réflexions, une narration interne des plus agréables car c’est celle que je préfère. Le personnage est atypique et je suis parfaitement arrivée à me l’imaginer dans sa vieille Pontiac avec son imperméable, un « vieux » renard rusé. Un personnage que j’aimerai retrouver dans d’autres enquêtes (message subliminal pour l’auteur) !
Dans la construction du récit c’est un flou au niveau de l’espace-temps, rien n’est précisé quand à l’époque durant laquelle se déroule le récit, juste des indices semés par-ci par-là qui donneront une certaines indications. En ce qui concerne le lieu et bien c’est « la ville » un endroit qu’il est difficile de quitter, une ville qui ne semble pas sympathique du tout, assez glauque sombre. Cependant tous ces éléments ou suspicions de détails ne font que renforcer le charme du roman.
La trame de l’histoire est captivante, l’énigme soumise au lecteur est tout simplement insoluble, le privé a vraiment été plus futé que moi. Dès les premières pages je me suis retrouvée happée dans cet autre monde au cœur de cette enquête à vadrouiller avec Jeff et toujours sa petite voix qui résonnait dans ma tête en me racontant son histoire. Pendant ma lecture je me suis retrouvée dans cet univers, dans une autre époque, comme si je faisais partie de l’histoire à part entière, et là vraiment chapeau M. Fenris, c’est très fort car cela n’arrive pas souvent.
CONCLUSION
Je peux dire que j’ai aimé, un peu, beaucoup, énormément ce livre.
Un autre temps, une autre époque, un privé, des pourris, des innocents, des coupables, une histoire atypique !
J’adore !
4ème de couverture
David Llerellyn a disparu. Se méfiant de la police, sa sœur Véra décide d'engager un détective pour le retrouver. Mais il semble que beaucoup de personnes s'intéressent à ce petit malfrat sans envergure, et que sa disparition ne soit pas le seul fruit du hasard. Quand le privé Jeff Fergusson commence à enquêter, il soulève certaines choses qui n'ont pas envie d'être révélées, et réveille de vieilles rancœurs. Car rien n'est jamais bon lorsqu'on hante les rues de la Ville…
CHRONIQUE
J’ai découvert une petite pépite du polar, ce roman d’énigme est un réel plaisir de lecture.
Un polar bien chaloupé et cadencé, un style vintage attrayant à souhait qui m’a fait revenir dans les années 80 au temps où mes parents regardaient une série US « Mike Hammer » avec Stacy Keach.
Un privé, Jeff est le personnage principal de cette histoire et nous raconte avec son style déclassé son enquête et ses réflexions, une narration interne des plus agréables car c’est celle que je préfère. Le personnage est atypique et je suis parfaitement arrivée à me l’imaginer dans sa vieille Pontiac avec son imperméable, un « vieux » renard rusé. Un personnage que j’aimerai retrouver dans d’autres enquêtes (message subliminal pour l’auteur) !
Dans la construction du récit c’est un flou au niveau de l’espace-temps, rien n’est précisé quand à l’époque durant laquelle se déroule le récit, juste des indices semés par-ci par-là qui donneront une certaines indications. En ce qui concerne le lieu et bien c’est « la ville » un endroit qu’il est difficile de quitter, une ville qui ne semble pas sympathique du tout, assez glauque sombre. Cependant tous ces éléments ou suspicions de détails ne font que renforcer le charme du roman.
La trame de l’histoire est captivante, l’énigme soumise au lecteur est tout simplement insoluble, le privé a vraiment été plus futé que moi. Dès les premières pages je me suis retrouvée happée dans cet autre monde au cœur de cette enquête à vadrouiller avec Jeff et toujours sa petite voix qui résonnait dans ma tête en me racontant son histoire. Pendant ma lecture je me suis retrouvée dans cet univers, dans une autre époque, comme si je faisais partie de l’histoire à part entière, et là vraiment chapeau M. Fenris, c’est très fort car cela n’arrive pas souvent.
CONCLUSION
Je peux dire que j’ai aimé, un peu, beaucoup, énormément ce livre.
Un autre temps, une autre époque, un privé, des pourris, des innocents, des coupables, une histoire atypique !
J’adore !