- Auteur
- Luca TAHTIEAZYM
- Titre
- CEUX QUI NE RENONCAIENT PAS
- Maison d'édition
- Autoédition
- Relecture
- Oui
- Service de presse
- Oui
COUP DE COEUR
Voici enfin le tout dernier roman de Luca Tahtieazym, et je peux déjà dire que c'est une belle rencontre avec Romain, le héros de l'histoire.
Romain m'a raconté son enfance et ses années collège de Gris, sa transparence de corps et d'esprit dans une famille des plus commune, une famille de Gris, sans passion sans intérêt.
Je me suis prise d'affection pour lui, l'enfant, l'ado solitaire des cours de récréation. Celui que personne ne remarque, toujours mort de peur, regardant avec envie les meneurs.
Puis il a y eu le lycée et l'erreur, mais est-ce seulement une erreur ?
Il m'a expliqué le déroulement de sa vie d' adulte amoureux et à la dérive, afin que je puisse comprendre sa rencontre avec Miss Fatalité, et puis surtout avec Elle.
Je l'ai soutenu, j'ai souffert, j'ai été heureuse, malheureuse pour lui. Un personnage pour lequel je ne peux ressentir qu'une grande empathie.
J'ai partagé ses errances, j'ai voulu l'encourager, lui dire qu'il se trompait, qu'il ne prenait pas la bonne route.
Mais c'était sans compter sa Miss Fatalité, il n'avait pas le choix, il devait passer par ces épreuves, est-ce le destin ?
Le récit commence en douceur pour monter en puissance et en force au fur et à mesure que grandissent les protagonistes. L'histoire se déroule à partir du milieu des années 1960 avec toute les caractéristiques de l'époque. Les petits voyous, le racisme contre les maghrébins, (à ce propos au cours de ma lecture je me suis replongée dans mes souvenirs du livre "Élise ou la vraie vie"), le racket. Des sujets malheureusement toujours d'actualité.
Tout le livre est un florilège de sentiments contradictoires. Des émotions puissantes m'ont torturées durant ma lecture. Tout est profond, ça fait mal, et malgré tout le bonheur et l'espoir ne sont jamais très loin.
Je n'ai pas eu le choix que de faire un parallèle sur mon enfance, adolescence, et je pense que tout un chacun le fera. Étions-ou des Gris ou des meneurs ? Avons-nous tous également une Mise Fatalité ?
Luca Tahtieazym est cette fois encore allé plus loin dans la psyché de son personnage. J'étais en empathie complète avec les méandres de l'âme torturée de Romain.
La narration s'effectuant à la première personne tout le long du récit je me suis retrouvée en tête à tête avec Romain qui d'ailleurs m'a interpellée à plusieurs reprises, voulant même sortir de ces pages à un moment !
Comme une communion entre nous, il m'a confié l'histoire de sa vie et je l'ai pris comme un cadeau.
"Ceux qui ne renonçaient pas" est encore un Grand roman et je suis certaine qu'il ira très loin. Il va frapper le cœur des lecteurs et ne les laissera pas indifférent.
Quand vous le lirez, je vous conseille de bien regarder les numéros de chapitres.
Et puis n'oubliez pas la fin est un recommencement !
Pour moi un très gros coup de cœur de ce début d'année
Voici enfin le tout dernier roman de Luca Tahtieazym, et je peux déjà dire que c'est une belle rencontre avec Romain, le héros de l'histoire.
Romain m'a raconté son enfance et ses années collège de Gris, sa transparence de corps et d'esprit dans une famille des plus commune, une famille de Gris, sans passion sans intérêt.
Je me suis prise d'affection pour lui, l'enfant, l'ado solitaire des cours de récréation. Celui que personne ne remarque, toujours mort de peur, regardant avec envie les meneurs.
Puis il a y eu le lycée et l'erreur, mais est-ce seulement une erreur ?
Il m'a expliqué le déroulement de sa vie d' adulte amoureux et à la dérive, afin que je puisse comprendre sa rencontre avec Miss Fatalité, et puis surtout avec Elle.
Je l'ai soutenu, j'ai souffert, j'ai été heureuse, malheureuse pour lui. Un personnage pour lequel je ne peux ressentir qu'une grande empathie.
J'ai partagé ses errances, j'ai voulu l'encourager, lui dire qu'il se trompait, qu'il ne prenait pas la bonne route.
Mais c'était sans compter sa Miss Fatalité, il n'avait pas le choix, il devait passer par ces épreuves, est-ce le destin ?
Le récit commence en douceur pour monter en puissance et en force au fur et à mesure que grandissent les protagonistes. L'histoire se déroule à partir du milieu des années 1960 avec toute les caractéristiques de l'époque. Les petits voyous, le racisme contre les maghrébins, (à ce propos au cours de ma lecture je me suis replongée dans mes souvenirs du livre "Élise ou la vraie vie"), le racket. Des sujets malheureusement toujours d'actualité.
Tout le livre est un florilège de sentiments contradictoires. Des émotions puissantes m'ont torturées durant ma lecture. Tout est profond, ça fait mal, et malgré tout le bonheur et l'espoir ne sont jamais très loin.
Je n'ai pas eu le choix que de faire un parallèle sur mon enfance, adolescence, et je pense que tout un chacun le fera. Étions-ou des Gris ou des meneurs ? Avons-nous tous également une Mise Fatalité ?
Luca Tahtieazym est cette fois encore allé plus loin dans la psyché de son personnage. J'étais en empathie complète avec les méandres de l'âme torturée de Romain.
La narration s'effectuant à la première personne tout le long du récit je me suis retrouvée en tête à tête avec Romain qui d'ailleurs m'a interpellée à plusieurs reprises, voulant même sortir de ces pages à un moment !
Comme une communion entre nous, il m'a confié l'histoire de sa vie et je l'ai pris comme un cadeau.
"Ceux qui ne renonçaient pas" est encore un Grand roman et je suis certaine qu'il ira très loin. Il va frapper le cœur des lecteurs et ne les laissera pas indifférent.
Quand vous le lirez, je vous conseille de bien regarder les numéros de chapitres.
Et puis n'oubliez pas la fin est un recommencement !
Pour moi un très gros coup de cœur de ce début d'année