- Auteur
- Katia CAMPAGNE
- Titre
- À TOUT JAMAIS IVM 3
- Maison d'édition
- Autoédition
- Relecture
- Oui
- Service de presse
- Non
Thriller surnaturel, 294 pages
4ème de couverture :
« Les personnes que l’on aime ne meurent jamais.»
Depuis que Beth n’est plus là, Ian ne survit que pour leur fille. Renfermé sur lui-même, son souvenir l’obsède et ses nuits sont des cauchemars. Lorsqu’il croise la route d’Hailey Cobb et de Carl Bruster, inspecteurs de la criminelle, il ne se doute pas que loin de reprendre goût à la vie, il va devoir affronter le déchaînement de forces surnaturelles et vengeresses.
Chronique
IVM tome 1 a été pour moi un livre que je n’oublierai pas, un véritable coup de cœur.
IVM tome 2 a été un excellent livre, cependant juste un peu en dessous du tome 1.
IVM tome 3 est la finalité de cette histoire captivante et prenante.
J’ai été absolument conquise par cette histoire, ces histoires, un plaisir indéniable de revenir sur les personnages qui m’ont donné tant d’émotions. Cependant je ressors de cette lecture avec une grande mélancolie, celle de savoir que c’est le dernier tome et l’autre mélancolie, celle du récit, dont je ne dirai rien pour ne pas spolier l’histoire.
Une trilogie remplie d’amour, de sordide, de violence, de souffrance, de désespoir.
Un frère et une sœur séparés qui se retrouvent, et à nouveau séparés, mais que rien ne pourra vraiment séparer.
Dans ce volume tous les ingrédients du thriller sont réunis, déjà c’est la suite des deux précédents tomes qui étaient des thrillers, mais cela ne veut rien dire.
D’entrée on est confronté à l’émotion dominante de la peur, de plus il s’agit de jeunes enfants qu’il faudra sauver des griffes du mal, de l’anti-héros. L’énigme est bien construite les actions s’enchainent à un rythme soutenu, la souffrance des personnages est très présente, elle palpable, on peut la ressentir dans nos émotions.
La narration s’effectue à travers plusieurs personnages principaux, ce qui nous permet de bien appréhender l’histoire dans sa totalité et d’en appréhender plus dans le détail les tenants et les aboutissants. À contrario elle ne s’effectuera pas du point de vue de l’anti-héros, cela donne une dimension supplémentaire dans le dramatique car le lecteur ne connaîtra pas les raisons, juste la quête obligatoire afin de stopper cette déferlante.
Les expériences que vont traverser les personnages les transformeront, ils en sortiront avec une autre vision de la vie et de la mort.
À la fin du récit, Katia Campagne nous informe malheureusement la fin de cette trilogie, et là je suis vraiment triste.
Cela ne peut pas finir, c’est impossible, un nouveau chemin s’ouvre pour Eleane et Allan, il est juste inconcevable de se dire que tout s’arrête ici !
Ces personnages ont pris trop d’importance pour leur dire un au revoir final, c’est injuste.
Vous les auteurs vous prenez des mois voire des années, comme c’est le cas ici, pour coucher sur du papier ces histoires incroyables, à faire naître ces personnages qui vous prennent aux tripes !
Nous les lecteurs, nous les prenons à bras ouverts, nous les acceptons, nous nous les approprions, mais c’est tellement cruel, quand ils nous ont autant touchés sur plusieurs tomes, de nous dire que tout est fini, que nous ne les retrouverons plus.
Je me retrouve dépitée et triste, mais cependant MERCI pour tout, la trilogie IVM restera pour moi incroyable et un coup de cœur dans son ensemble.
4ème de couverture :
« Les personnes que l’on aime ne meurent jamais.»
Depuis que Beth n’est plus là, Ian ne survit que pour leur fille. Renfermé sur lui-même, son souvenir l’obsède et ses nuits sont des cauchemars. Lorsqu’il croise la route d’Hailey Cobb et de Carl Bruster, inspecteurs de la criminelle, il ne se doute pas que loin de reprendre goût à la vie, il va devoir affronter le déchaînement de forces surnaturelles et vengeresses.
Chronique
IVM tome 1 a été pour moi un livre que je n’oublierai pas, un véritable coup de cœur.
IVM tome 2 a été un excellent livre, cependant juste un peu en dessous du tome 1.
IVM tome 3 est la finalité de cette histoire captivante et prenante.
J’ai été absolument conquise par cette histoire, ces histoires, un plaisir indéniable de revenir sur les personnages qui m’ont donné tant d’émotions. Cependant je ressors de cette lecture avec une grande mélancolie, celle de savoir que c’est le dernier tome et l’autre mélancolie, celle du récit, dont je ne dirai rien pour ne pas spolier l’histoire.
Une trilogie remplie d’amour, de sordide, de violence, de souffrance, de désespoir.
Un frère et une sœur séparés qui se retrouvent, et à nouveau séparés, mais que rien ne pourra vraiment séparer.
Dans ce volume tous les ingrédients du thriller sont réunis, déjà c’est la suite des deux précédents tomes qui étaient des thrillers, mais cela ne veut rien dire.
D’entrée on est confronté à l’émotion dominante de la peur, de plus il s’agit de jeunes enfants qu’il faudra sauver des griffes du mal, de l’anti-héros. L’énigme est bien construite les actions s’enchainent à un rythme soutenu, la souffrance des personnages est très présente, elle palpable, on peut la ressentir dans nos émotions.
La narration s’effectue à travers plusieurs personnages principaux, ce qui nous permet de bien appréhender l’histoire dans sa totalité et d’en appréhender plus dans le détail les tenants et les aboutissants. À contrario elle ne s’effectuera pas du point de vue de l’anti-héros, cela donne une dimension supplémentaire dans le dramatique car le lecteur ne connaîtra pas les raisons, juste la quête obligatoire afin de stopper cette déferlante.
Les expériences que vont traverser les personnages les transformeront, ils en sortiront avec une autre vision de la vie et de la mort.
À la fin du récit, Katia Campagne nous informe malheureusement la fin de cette trilogie, et là je suis vraiment triste.
Cela ne peut pas finir, c’est impossible, un nouveau chemin s’ouvre pour Eleane et Allan, il est juste inconcevable de se dire que tout s’arrête ici !
Ces personnages ont pris trop d’importance pour leur dire un au revoir final, c’est injuste.
Vous les auteurs vous prenez des mois voire des années, comme c’est le cas ici, pour coucher sur du papier ces histoires incroyables, à faire naître ces personnages qui vous prennent aux tripes !
Nous les lecteurs, nous les prenons à bras ouverts, nous les acceptons, nous nous les approprions, mais c’est tellement cruel, quand ils nous ont autant touchés sur plusieurs tomes, de nous dire que tout est fini, que nous ne les retrouverons plus.
Je me retrouve dépitée et triste, mais cependant MERCI pour tout, la trilogie IVM restera pour moi incroyable et un coup de cœur dans son ensemble.