- Auteur
- Donato CARRISI
- Titre
- LA FEMME AUX FLEURS DE PAPIER
- Maison d'édition
- Relecture
- Oui
- Service de presse
- Non
*La femme aux fleurs de papier* - Donato Carrisi
Je viens de terminer *La femme aux fleurs de papier*, et quel voyage ce fut ! Donato Carrisi, qui m’avait habitué à des thrillers haletants, m’a cette fois emmené dans un récit d’une profondeur et d’une émotion rares. Vérité ou fiction ? Le livre oscille entre des faits réels, comme le précise l’auteur, et des zones floues où l’imagination devient reine. À mes yeux, tout s’est réellement passé comme il est écrit.
Je veux croire que Guzman, Isabel, Mme Li, Jacob, Davi et tous les autres ont vraiment existé. Ces personnages, si vibrants, m’ont pris aux tripes. En écoutant l’histoire racontée par le prisonnier, j’ai pensé à *L’Histoire du Juif errant*. Pourquoi cette comparaison ? Je ne saurais vraiment l’expliquer, mais une nostalgie profonde, une mélancolie douce, s’est emparée de moi, ressentie à la dernière phrase des remerciements de l’auteur.
Ce roman est un long et court voyage, intense, presque douloureux, mais terriblement beau. Donato Carrisi prouve ici qu’il est un conteur hors pair, capable de toucher le cœur autant que l’esprit. J’ai aimé ce livre, et j’en redemande, même si cela pince le cœur.
Je vous conseille sans hésiter de prendre entre vos mains ce roman et de vous laisser emporter. Bonne lecture, et bon voyage.
Je viens de terminer *La femme aux fleurs de papier*, et quel voyage ce fut ! Donato Carrisi, qui m’avait habitué à des thrillers haletants, m’a cette fois emmené dans un récit d’une profondeur et d’une émotion rares. Vérité ou fiction ? Le livre oscille entre des faits réels, comme le précise l’auteur, et des zones floues où l’imagination devient reine. À mes yeux, tout s’est réellement passé comme il est écrit.
Je veux croire que Guzman, Isabel, Mme Li, Jacob, Davi et tous les autres ont vraiment existé. Ces personnages, si vibrants, m’ont pris aux tripes. En écoutant l’histoire racontée par le prisonnier, j’ai pensé à *L’Histoire du Juif errant*. Pourquoi cette comparaison ? Je ne saurais vraiment l’expliquer, mais une nostalgie profonde, une mélancolie douce, s’est emparée de moi, ressentie à la dernière phrase des remerciements de l’auteur.
Ce roman est un long et court voyage, intense, presque douloureux, mais terriblement beau. Donato Carrisi prouve ici qu’il est un conteur hors pair, capable de toucher le cœur autant que l’esprit. J’ai aimé ce livre, et j’en redemande, même si cela pince le cœur.
Je vous conseille sans hésiter de prendre entre vos mains ce roman et de vous laisser emporter. Bonne lecture, et bon voyage.