
- Auteur
- Mathieu BERTRAND
- Titre
- LES SENTINELLES
- Maison d'édition
- M+
- Relecture
- Oui
- Service de presse
- Non
Les Sentinelles – Mathieu Bertrand
Comme toujours, j’ai ouvert le dernier livre de Mathieu Bertrand avec cette petite impatience fébrile que l’on ressent avant de retrouver une voix familière. Et, sans surprise, j’y ai retrouvé sa plume incisive, précise, et ce petit quelque chose d’unique qui rend chaque roman reconnaissable entre mille.
Dans ce troisième opus des aventures de Paul Kaminski et de l’assassyine Elaehe, l’auteur nous entraîne dans une quête qui flirte habilement avec la frontière du réel. Qu’on y croie ou non, qu’on penche pour la légende ou pour l’histoire, on se laisse happer par cette chasse aux artefacts où se mêlent mystères, secrets enfouis, et cette tension sourde propre à l’univers de Bertrand.
Une nouvelle venue rejoint d’ailleurs l’équipe – et les fidèles lecteurs de l’auteur la reconnaîtront sans mal. Sa présence apporte un souffle différent, tout en s’inscrivant naturellement dans la dynamique du groupe. Quant à l’Iranienne, elle s’efface pour des raisons que vous découvrirez au fil du récit, non sans émotion.
On voyage, encore et toujours : de pays en lieux oubliés, de chapelles en cavernes, en passant par d’étranges confréries et des chevaliers dont les ombres traversent le temps. Ce savant mélange d’érudition, de mysticisme et d’action, c’est la marque de fabrique de Mathieu Bertrand, et ici encore, elle opère parfaitement.
Et puis vient la fin.
Une fin qui interroge, qui trouble. Est-ce vraiment la fin ? Ou le commencement d’autre chose ? Une porte qui se ferme… ou qui s’entrouvre sur un nouvel horizon ? À vous de le découvrir.
Une lecture que je vous conseille vivement — pour l’intelligence de son intrigue, la richesse de ses symboles et le plaisir intact de retrouver des personnages qu’on aime suivre, même dans les zones les plus sombres du monde et de l’âme humaine.
Merci, Mathieu, pour ce nouveau voyage entre l’histoire, la légende… et la part de vérité qui se cache toujours quelque part entre les deux.
Comme toujours, j’ai ouvert le dernier livre de Mathieu Bertrand avec cette petite impatience fébrile que l’on ressent avant de retrouver une voix familière. Et, sans surprise, j’y ai retrouvé sa plume incisive, précise, et ce petit quelque chose d’unique qui rend chaque roman reconnaissable entre mille.
Dans ce troisième opus des aventures de Paul Kaminski et de l’assassyine Elaehe, l’auteur nous entraîne dans une quête qui flirte habilement avec la frontière du réel. Qu’on y croie ou non, qu’on penche pour la légende ou pour l’histoire, on se laisse happer par cette chasse aux artefacts où se mêlent mystères, secrets enfouis, et cette tension sourde propre à l’univers de Bertrand.
Une nouvelle venue rejoint d’ailleurs l’équipe – et les fidèles lecteurs de l’auteur la reconnaîtront sans mal. Sa présence apporte un souffle différent, tout en s’inscrivant naturellement dans la dynamique du groupe. Quant à l’Iranienne, elle s’efface pour des raisons que vous découvrirez au fil du récit, non sans émotion.
On voyage, encore et toujours : de pays en lieux oubliés, de chapelles en cavernes, en passant par d’étranges confréries et des chevaliers dont les ombres traversent le temps. Ce savant mélange d’érudition, de mysticisme et d’action, c’est la marque de fabrique de Mathieu Bertrand, et ici encore, elle opère parfaitement.
Et puis vient la fin.
Une fin qui interroge, qui trouble. Est-ce vraiment la fin ? Ou le commencement d’autre chose ? Une porte qui se ferme… ou qui s’entrouvre sur un nouvel horizon ? À vous de le découvrir.
Une lecture que je vous conseille vivement — pour l’intelligence de son intrigue, la richesse de ses symboles et le plaisir intact de retrouver des personnages qu’on aime suivre, même dans les zones les plus sombres du monde et de l’âme humaine.
Merci, Mathieu, pour ce nouveau voyage entre l’histoire, la légende… et la part de vérité qui se cache toujours quelque part entre les deux.
