
- Auteur
- Hervé GAGNON
- Titre
- LA MORT DU TEMPLE, Tome 2
- Maison d'édition
- Hugo
- Relecture
- Oui
- Service de presse
- Non
Avec un immense plaisir, je me suis replongée dans l’univers d’Hervé Gagnon avec *La mort du Temple – Corpus Christi*, second tome de cette fresque templière qui n’a rien à envier aux grands romans historiques. Quel bonheur de retrouver Hugues de Malmort, ce personnage complexe et fascinant, lancé au cœur des derniers jours de l’Ordre du Temple, dans une France où le pouvoir, la foi et la trahison s’entrelacent dans une toile aussi sombre que captivante.
L’auteur nous offre ici une histoire parfaitement maîtrisée, où chaque détail historique semble pesé, ajusté, ciselé avec la précision d’un maître artisan. L’intrigue est dense, les rebondissements bien placés, et les personnages, qu’ils soient du côté de la lumière ou de l’ombre, vibrent d’une intensité rare. On sent à chaque page la passion d’Hervé Gagnon pour l’Histoire — la vraie, celle qui respire la poussière, la ferveur et le sang des hommes — sans jamais tomber dans le didactisme.
L’écriture est, osons le mot, *parfaitement parfaite*. Fluide, vivante, cinématographique, elle happe littéralement le lecteur dès les premières lignes pour ne plus le relâcher avant la dernière page. Les scènes d’action se mêlent aux moments d’introspection avec un équilibre remarquable, et la tension monte crescendo jusqu’à ce final à la fois brutal et émouvant.
*Corpus Christi* est une plongée magistrale dans la fin historique des Templiers, un hommage vibrant à leur légende, mais aussi une réflexion subtile sur la loyauté, la foi et la survie. On referme le livre le cœur battant, en se disant qu’Hervé Gagnon a encore une fois frappé juste — dans le style, dans le fond, et dans l’âme.
Un roman à lire absolument pour tous ceux qui aiment les grandes épopées où Histoire et mystère s’unissent dans une danse envoûtante.
L’auteur nous offre ici une histoire parfaitement maîtrisée, où chaque détail historique semble pesé, ajusté, ciselé avec la précision d’un maître artisan. L’intrigue est dense, les rebondissements bien placés, et les personnages, qu’ils soient du côté de la lumière ou de l’ombre, vibrent d’une intensité rare. On sent à chaque page la passion d’Hervé Gagnon pour l’Histoire — la vraie, celle qui respire la poussière, la ferveur et le sang des hommes — sans jamais tomber dans le didactisme.
L’écriture est, osons le mot, *parfaitement parfaite*. Fluide, vivante, cinématographique, elle happe littéralement le lecteur dès les premières lignes pour ne plus le relâcher avant la dernière page. Les scènes d’action se mêlent aux moments d’introspection avec un équilibre remarquable, et la tension monte crescendo jusqu’à ce final à la fois brutal et émouvant.
*Corpus Christi* est une plongée magistrale dans la fin historique des Templiers, un hommage vibrant à leur légende, mais aussi une réflexion subtile sur la loyauté, la foi et la survie. On referme le livre le cœur battant, en se disant qu’Hervé Gagnon a encore une fois frappé juste — dans le style, dans le fond, et dans l’âme.
Un roman à lire absolument pour tous ceux qui aiment les grandes épopées où Histoire et mystère s’unissent dans une danse envoûtante.
